M. Jackson trouve le journal où son fils Eddy a partagé ses pensées les plus intimes. Et les désirs les plus profonds. Le désir qu'il a pour son propre père. Eddy est assis dans le salon quand M. Jackson entre. Eddy se lève et son cœur coule. Il est là dans les mains de son père. Son journal. Eddy n'a pas besoin de demander s'il l'a lu. Il ne le tiendrait pas s'il ne l'avait pas fait.
M. Jackson est assis sur la chaise en face de son fils. Il commence à le prosterner doucement. Il veut qu'Eddy le dise. Pour lui dire qu'il le veut. Eddy dit la vérité qui était déjà couchée entre eux écrits dans les mots les plus explicites possible. M. Jackson se lève et marche vers son fils et le soulève jusqu'à ses pieds. Ils s'embrassent.
Alors M. Jackson déshabille Eddy. Ses mains fortes explorent son corps. Voir son fils d'une manière nouvelle, comme Eddy transforme dans son esprit de son fils en objet de son désir. Eddy le voit dans les yeux de son père. Son désir croissant, celui qu'il n'a eu que ce moment. M. Jackson repousse doucement son fils et il s'assoit sur le canapé. Son père qui tire sa chemise sur sa tête est le seul signe qu'Eddy doit enlever son pantalon. Puis M. Jackson s'agenouille entre les jambes. Il arrive à tirer son fils hors shorts avant de se déplacer entre ses jambes. Embrasser ses cuisses. Embrasser le plus intime de lui. Ils savent tous les deux que leur vie ne sera jamais la même.