Après la vente aux enchères, Jack a été livré dans ma chambre d'hôtel. Il a frappé à la porte. Je me suis assis sur le lit, les jambes écartées, et lui ai dit d'entrer. Il n'y aurait pas de conversation inutile. Je savais tout ce que j'avais besoin de savoir sur Jack et il n'avait pas besoin de savoir Jack sur moi !
Cet homme avait l'air effrayé ! Il était nu, mais pour un jock et un joli nœud papillon autour du cou. Son visage était bouffé. Il avait l'air si innocent. Quand tu vois un enfant comme ça, tu dois prendre une décision sur ce que tu vas lui faire. Comme tu vas le baiser. Qu'il traîne ou que tu le baises une fois, vends-le. Je savais à ce moment-là que le gamin était un gardien. Plus que ça, je voulais qu'il me veuille vraiment. Je voulais qu'il soit si excité... Mais je n'allais pas le laisser chier. Il serait désespéré, mais ça n'arriverait pas. J'allais aller lentement. Intense...
Je savais que je l'avais exactement là où je le voulais quand je lui ai dit de retirer ma cravate. Il l'a fait si lentement, comme savourant chaque instant. Je voyais que ça déclenchait un souvenir de son père. Il a regardé dans mes yeux, ses élèves dilatant sauvagement. C'est là qu'on s'est embrassé.
Le baiser était lent au début, mais la vitesse et l'intensité ont augmenté. L'éperlan est si bon. Tellement propre. Quand on s'est embrassés, j'ai mouillé mon doigt et j'ai commencé à le presser dans son petit trou serré, presque parfait. Jack a gazé. Il était nerveux et incertain, mais excité et excité. Je l'avais exactement là où je le voulais.