Soixante neuf et sodo entre BG

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Il suffit de jeter un coup d’œil à Nick Vargas pour se rendre compte qu’il n’est pas étranger à l’exercice physique – un homme qui se rend au gymnase pour pousser des poids après avoir déjà passé une heure ou deux en sueur à peaufiner son expertise martiale. Non pas que vous vous attendiez vraiment à moins d’un modèle STAXUS, bien sûr ; et entre-temps, le jeune Tony Conrad tient clairement à imiter les habitudes de son copain en soulevant des haltères dans le but de pomper ses armes. En bref, ces deux compagnons sont au sommet de la forme physique des jeunes – un fait que le réalisateur, John Smith, utilise au maximum ici en les associant dans un concours de lutte huilé. Cela en soi est une véritable merveille à voir – leurs corps graissés et beaux se frottant l’un contre l’autre, enflammant littéralement la pièce avec une tension érotique dans le processus. Mais bien sûr, c’est ce qui se passe entre ces deux potes lorsque l’action devient finalement résolument sexualisée qui intéressera la plupart des téléspectateurs ; avec Vargas se régalant rapidement de l’arbre maintenant gonflé de Conrad, avant que les rôles ne soient ensuite inversés dans le but de rendre le compliment. Il ne faut pas vraiment être un expert pour savoir qui va être en haut et qui va être en bas, bien sûr ; mais cela n’enlève rien à la vue de Vargas prenant enfin la pleine maîtrise de la situation en étirant le cul du jeune avec ses doigts, avant d’enfoncer sa hampe profondément dans le trou béant. Et d’ailleurs, il n’y en aura pas beaucoup qui seront capables de résister à la vue de Conrad en train de crémer en train de baiser, tandis que Vargas fait gicler sa bourre sur le pucker de son pote. Dans l’ensemble, un classique incontestablement sportif et courageux!

Date: 10 janvier 2018